dimanche 27 juillet 2014

Recueil de plaies à panser.

Bientôt la plume effleurera pleinenement  la page vierge, c'est d'ire et de larmes qu'est fait lhire la rime ultime j'suis tellement à sa recherche
Que j'en oublie l'adage du tout vient a point, du coup j'doute qu'elle daigne se montrer un jour c'est de cette quête que mes humeurs déteignent
Que mes lueurs d'inspi s'eteignent... Ou le silence est d'or et d'ores et déjà dort l'espoir que devant moi se tiennent
Les voies d'un renouveau que j'renoue au, déferlement d'encre entre rêve et vie que je lie et vous livre la mienne tout haut
du WordNapping qui porte la guigne, on passera par dessus, par souvenirs et plaies de l'âme fracas et tracas et puis maintes blessures 
tiens moi la main qu'on aille mourir dansant, ou qu'on échoue ensemble, qu'on renaisse d'une plus belle forme sur la piste tous deux les joues en sang
douteux les soirs m’attriste toutes les cicatrices, soient restent ouvertes ou se referment à l'heure des pleines pénuries de soi
douleur tassé toute la lourdeur passé, l'heure est a quoi l'avenir montre moi le chemin à suivre avec ta montre à quartz 
on s'asphixie d'heurts d'amour et d'coups, d'peurs que tout à coup la magie s'brise telle est l'emprise débats épars départs ébats éclats ecarts prophylaxie d'couple 
Rares sont les instants où j'croise l'ataraxie, quand l’affliction persiste et dans ces yeux que j'toise les maux prennent l'envergure d'une galaxie
les cieux nous offrent les astres la vie l'amertume les mots ses conditions, l'ampleur du mal les affres de l’introspection la perdition de la cognition 
j'parle d'évasion du mur esprit et corps, des éternels tumultes dans leur fusion sempiternelle absence de cohésion raison ou torts 
les chimères en pâtissent, la dérive des rêves que les noirceurs décimèrent dans la plus profonde destructrice apathie  
apologie perfide de l'idée créative en tant que fleuve tari, je m'y fourvoie comme je la nomme ma noyade hors norme dogmatique 
mais que la plume est belle quand l'aède se perd en paix dans ces zéphirs de pensées, ou passion et deuil se mêlent délivrant un recueil de plaies à panser.